Idéogrammes
Il convient de discerner les idéogrammes, car il y a trois catégories différentes :
- les HIRAGANA
- les KATAKANA
- les KANJI
Les HIRAGANA composent les mots d'origine japonaise, les KATAKANA composent les mots d'origine
étrangère, et les KANJI, issus de la langue chinoise, ont été adaptés à l'écriture japonaise pour
remplacer une ou plusieurs syllabes, réduisant ainsi les problèmes de sens à
l'écrit en raison de l'homonymie des mots.
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Ayumi - あゆみ
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Les kanji sont appris au cours de la scolarité. Le nombre de kanji appris chaque année
varie. En fin de scolarité, les enfants doivent savoir en lire et en écrire 900. On estime
à 2000 le nombre de kanji nécessaire pour lire le journal.
Informatiquement, les entrailles de la codification UTF8 renferme près de 20,900 kanji utilisés
par les chinois et en partie par les japonais
(voir la table).
Lecture(s) des kanji selon l'emploi
Lecture kun
Cette prononciation sert à expliquer le sens du kanji concerné
(que l'on peut rapprocher de l'étymologie).
Cependant, sens et prononciation peuvent varier selon l'utilisation faite du kanji.
Lecture on
Elle indique par des caractères japonais comment se prononce phonétiquement
le kanji concerné en chinois, sans donner pour autant une explication sur le sens.
Plus d'explications sur ce site.
Vous verrez parfois sur internet, et souvent dans ce site, cette dite lecture sous la forme de petits kana.
Ils sont placé au dessus des kanji et sont appelés furigana. Exemple
pour le mot "arigatou" qui signifie "merci".
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